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la misere nous frappe toujours au depourvu
pour certains des la naissance pour d autres a l age adulte
certains meme toute leur vie
et quand elle nous tiens difficile de s en sortir
alors on se bat pour ne pas se considerer exclu
on lutte on se prive pour ne pas la laisser nous envahir
on resiste face aux maladies sans remede
pourtant tant de personnes se mobilisent pour nous apporter ne serait ce qu un sourire un soutien une ecoute
une epaule a laquelle s appuyer pour oublier camoufler nos chagrins
et surtout trouver des solutions
nombres de gens se refusent a cette aide
cette main ailee aux couleur de notre pays
car la misere lui apparait comme une honte
nul besoin de honte pour aider
nul besoin de honte pour recevoir
juste besoin de cette main sur le coeur
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LES SOUVENIRS
Il est des mots et des images qui restent gravées à jamais
Comme un album de souvenir, dans ma mémoire ils sont stockés.
Certains évoques des moments tendres,
D’autres moins doux se font entendre.
Mais même dans les moments tristesse
Ce ne sont plus des mots qui blessent
Ils ont perdu leur fils tranchants
Ils ne font plus souffrir autant.
Sans doute ai-je assimilé
Toutes ces choses qui font pleurer
Et dans le livre de ma vie
Que je feuillette quand vient la nuit
Je me surprends à constater
Les moments sombres sont fanés
Ils déambulent dans mes pensées
Noyés dans un brouillard épais.
Alors que les moments bonheur
Eux, ont su garder leur splendeur
Je peux sentir encore la joie
Que j’éprouvais ces moments là
Alors que les douleurs vilaines
Passent par là et puis s’éteignent.
C’est un peu comme les nuages
Qui passent sans qu’il y ait l’orage.
Ils restent des pages vierges à mon livre
Où j’y mettrais les moments à vivre
Et je sais parce que j’ai appris
Au fil des jours et de ma vie
Que les épreuves qui m’attendent
Viendront aux pages se suspendrent
Et que mes heures de bonheur
Y mettrons leur touche de couleur.
Bien plus tard quand je serai vieille
Ce livre sera ma merveille
Je pourrai venir y relire
Les pleurs de ma vie, et les rires
Avec un air mélancolie,
Je penserai à ses soucis
Mais avec une grande sagesse
Je savourerai ma vieillesse.
Oh oui les peines font grandir
Et font parties des souvenirs
Parce que la vie est ainsi faite
De belle victoires et défaites
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erotiser l instant
lorsque deux etres sont amoureux
rien n est plus doux a leurs coeurs etonnes
que la perspective du premier baiser
A la pensee d etre embrassee
par celui que l on desire le fantasme es tres fort
ce desir cache qui nous fait frissonner
Attente de ces instants tant esperes
pour mieux l acceuillir s en delecter jusqu a l ivresse
Deux bouches se frolent a peine
puis osent et se pressent l une contre l autre
Deux coeurs battent la chamade
puis timidiment les langues se goutent
fievreuses avides et consentantes
la fusion emotionnelle s accomplit
par le miracle charnel du baiser
vient l instant des premiers gestes
les mains se touchent les doigts se melent
les regards s accrochent l un a l autre
se parlent s enveloppent d une envie folle d etre fusionnel
c est le moment le plus magique de cette premiere etreinte
quoiqu il arrive que l on oserait imaginer un frisson nous envahit de plaisir
il monte en nous nous parcoure tout entier nous electrise
levres contre levres corps contre corps
assaillis par le besoin de connaitre l amour charnel
nous ne controlons plus nos sens
affoles par des sensations qui nous enflamment
notre desir se fait plus pressant plus exigeant
la magie de l amour opere et nous transporte
comme dans un songe un reve tout eveille
au dela du raisonnable au dela de toute realite
ce baiser d abord timide hesitant
est devenu plus ardent plus passione
pour nous amener sans retenu a nous appartenir
nos corps brulant se laissent aller a ce jeu de l amour
qui nous devore et nous consume
jusqu a l oubli total de ce qui nous entoure
nos yeux se ferment nos sens en ebullition dirigent nos actes
et le temps se fige
c est l alchimie de l amour
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FEMME BATTUE
Une oppression dans la poitrine tel un tressaillement,
Des frissons au coeur , dans la gorge, dans le dos, ascendants .
la réflexion est éteinte, aspirée comme vidée de tout,
Un enchainement d'inhibition des sens, mit bout à bout.
Comment peut on s'en sortir lorsqu'on est privé de tous ses moyens ?
Mais surtout, où trouver la motivation quant on est traité comme une moins que rien ?
Le doute est immense, la volonté inexistante.
La peur prend tout le corps, comme paralysante.
Personne ne peut comprendre ce qu'elle vit,
Personne ne peut se douter de ce mépris.
Elle cache, ment, fait bonne figure,
Personne ne doit savoir ce qu'elle endure.
Mais son esprit est assommé, totalement désemparé,
Et ses nerfs sont crispés, ses mouvements saccadés.
Un sentiment glacial de solitude l'envahie,
Une envie assassine de mettre fin à ses ennuis.
Pourtant tous les soirs, près de lui elle se couche,
Repensant aux insultes qui sortent de sa bouche.
Paradoxalement, elle se dit qu'elle l'aime,
Et attend patiemment que les beaux jours viennent.
Une ambiance de mort, des habitudes stridentes,
Des gestes quotidiens qui la hantent.
Une angoisse profonde, une vie décousue,
Face à la folie d'un homme d'une jalousie mordue.
La passion, l'amour du début ont disparu ;
La tendresse, les caresses, les baisers ne sont plus.
Il n'y a plus d'étincelles dans les yeux des deux amants,
Désormais plus rien ne sera comme avant.
Aujourd'hui les cris, la douleur, les coups devant ces deux jeunes enfants et ce petit etre qui grandit en elle malgre la douleur rythment leur journée.
Leur vie est aspirée dans un tourbillon de violence.
maman et ces deux anges sont tourmentés et blessés,
Suite aux crises délirantes de cet homme, conductrices de souffrances
Elle ressent une culpabilité implacable, comme coupable de la barbarie qui peu à peu l'emporte.
Elle ne peut se résoudre à fuir, car il lui promet que dès lors, elle sera morte.
Comme si elle était la source de toute cette méchanceté,
Comme si, si elle s'en allait, elle n'était que lâcheté.
Personne ne peut juger les actes de cette femme désespérée,
Personne ne peut comprendre qu'elle reste, puisqu'il l'a condamnait.
Quand l'amour n'est que destruction,
Quand l'amour n'est que possession,
Quand l'amour est invisible,
Quand cette forme d'amour est indescriptible,
Alors, Il n'y pas de réel Amour.
Ce sentiment est le plus beau que l'on puisse ressentir,
C'est celui qui nous donne la vie, l'envie, qui nous permet d'exister et de nous épanouir.
Il est tellement profond, pur, puissant, et immense,
L'Amour est la non violence, la liberté, la fusion, l'innocence.
Et je dois dire qu'à mon sens ;
Le respect en est l'essence.
A partir de l'instant où il y a maltraitance,
Et où réside une telle insolence,
L'Amour n'a aucune existence,
Cela est une véritable déchéance.
poeme d une vie de souffrance vecue il a 4 ans
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Emmène-moi au bout de tes rêves
Emmène-moi ou l’amour n’as pas de trêve
Je veux goûter aux plaisirs défendus
Me donner a toi sans retenue
J’aimerais entendre tous tes soupirs
Être tout ton désir
Emmène-moi au pays des songes
Ou ni la misère ni la maladie ne rongent
Je veux que tu sois maître
Des plaisirs de mon être
Oui que tu me pénètres
Tu peux tout te permettre
Toi tu veux mon bien-être
J'ouvre grand la fenêtre
Viens me faire l'amour
Viens jouer dans ma cour
Ne prends pas de détours
Du plaisir à l'amour
Prends un aller-retour
Prends et donne en retour
Je veux que tu me prennes
Je veux que tu m'emmènes
Que tes mains se promènent
Et en moi que tu viennes
Je sais que tu me mènes
Où la douceur est reine
N’attend pas, emmène moi…
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